Cette partition de François Couperin est reproduite en fac-similé dans la collection Musique Française classique.

Edition : Paris, Ballard, 1704.

Sept versets du motet « Qui Regis Israël, intende » chanté à Versailles en 1705. La préface traite de la bibliographie, de la notation et des problèmes d'exécution de ces versets.

Présentation de :
Philippe Lescat : Contexte historique.
Jean Saint-Arroman : Lecture de la partition (agrémentation).

Précisions sur les formations instrumentales :
Voix de basse, flûte traversière, basse continue.
Voix de tailles à l'unisson, voix de basses à l'unisson, violon, basse continue.
Voix de basse, 2 parties de violons, basse continue.
2 voix de castrats, basse continue.
Voix de dessus, violon, basse continue.
Voix de dessus, flûte traversière, hautbois.

Collection dirigée par Jean Saint-Arroman.Fac-similé réalisé à partir de l'exemplaire conservé à la British Library de Londres (Angleterre).

Liste des titres

1. Annexe : Traduction ancienne du psaume mis en musique par Couperin
2. Quatrième verset : Converte nos Deus (voix de basse, flûtes traversières, basse continue)
3. Cinquième verset : Numquid in aeternum (voix de taille à l'unisson, voix de basses à l'unisson, violons, basse continue)
4. Septième verset : Ostende nobis Domine (voix de haute-contre, violons, basse continue
5. Huitième verset : Audiam quid loquatur (voix de basse, deux parties de violons, basse continue)
6. Onzième verset : Misericordia & veritas (deux voix de castrats italiens, basse continue)
7. Douzième verset : Veritas de terra orta est (voix de dessus, violons, basse continue)
8. Treizième verset : Et enim Dominus (voix de dessus, flûte traversière, hautbois).